Doctor Who
Les aventures du Docteur, un extraterrestre, un Seigneur du Temps originaire de la planète Gallifrey, qui voyage à bord d'un TARDIS (Temps À Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale), une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Le TARDIS a l'apparence d'une cabine de police (construction typiquement ...
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Terminée | Anglaise, GB | 25 minutes |
Science-Fiction, Fantastique, Historique, Action, Adventure, Action & Adventure, Drame, Science-Fiction & Fantastique | BBC One, Youtube, BBC, Global, ABC (AU) | 1963 |
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17.21 - Shada (1)
Shada (1)
The Doctor and Romana visit Chronotis, a retired Time Lord living in Cambridge, who admits that he's lost a book dating back to the time of Rassilon and needs their help to find it. In fact he's accidentally lent it out to graduate student Chris Parsons, who soon realises that this is an extraordinary text indeed. The book is also sought by the evil scientist Skagra, who has developed a sphere capable of drawing its victims' minds out of their bodies. Skagra needs the book to reach the Time Lord prison Shada, which even the Time Lords have forgotten. Long ago they imprisoned the criminal Salyavin there, as punishment for using his powers to transfer his mind into other people's bodies. Chronotis is eventually forced to admit that he himself is Salyavin; he escaped long ago and used his powers to cause the Time Lords to forget about his prison. However, he's now repented of his crimes and wishes to live a quiet, peaceful life. Skagra drains Chronotis's mind and thus acquires the ability to transfer his own mind into other bodies; with the aid of the sphere and his crystalline servants, the Krargs, he will spread his own mind throughout the Universe and become immortal. However, when the Doctor pretends to be stupid, the sphere fails to drain his mind completely. He thus survives, and since there's a copy of his mind inside the sphere, he is able to use the resonance to turn Skagra's possessed slaves against him. Skagra is imprisoned by his own Ship, and Chronotis returns to Earth to resume his peaceful retirement.
Diffusion originale : 19 janvier 1980
Diffusion française :
19 janvier 1980
Réalisat.eur.rice.s :
Pennant Roberts
Scénariste.s :
Douglas Adams
Guest.s :
Christopher Neame
,
Daniel Hill
,
David Brierley
,
David Strong
,
Derek Suthern
,
Gerald Campion
,
Harry Fielder
,
James Coombes
,
James Muir
,
John Hallett
,
Lionel Sansby
,
Reg Woods
,
Shirley Dixon
,
Victoria Burgoyne
Le fameux épisode perdu ! Qui ne compte pas vraiment dans la timeline. Sauf qu’en fait il est bourré de mythologies et a connu un “culte” des fans par la suite, suffisamment pour être réédité sous forme de narration, d’audio avec Paul McGann, de téléfilm en 1992 avec plein de parties manquantes et ici en 2017, d’un plus long téléfilm où les scènes manquantes ont été reconstituées en animation par la BBC (qui est la version que je regarde).
Shada, l’épisode maudit et sauvé à la fois. Eh bien, il commence ma foi plutôt bien. Malgré un début un poil longuet pour rien : on met bien un tiers de l’épisode à voir apparaître le Doc et Romana, et seule la présence du TARDIS dans le bureau d’un vieux professeur de Cambridge sert à nous indiquer que tout ceci mène bien quelque part. Malgré cela, on est saisi par cet alien prisonnier qui semble s’être échappé de son vaisseau pour vagabonder dans les jolis décors de Cambridge, à la recherche du Professeur Chronotis. Ce dernier est clairement le meilleur aspect de l’épisode, puisqu’il s’agit ni plus ni moins que d’un pépé Time Lord à la retraite en tant que vieux prof à Cambridge.
Il y a pas mal de supers idées avec tout ça : le fait qu’il ait envoyé un signal de détresse au Doc, mais que celui-ci arrive toujours dans le désordre (du River Song avant l’heure), le côté délicieusement absurde du papi qui est resté 300 ans sur Terre sans bouger mais comme il s’agit d’une grande chair de Cambridge, personne ne se doute de rien. Le professeur Chronotis est vraiment un personnage absurde au sens large très réussi, de sa première scène où il ne fait que couper la parole de son élève pour se plaindre des “profs qui ne font que parler sans écouter”.
Hormis ces touches d’humour qui fonctionnent vachement bien, on en rajoute quand même une petite couche sur la mythologie en citant plusieurs fois Rassilon et ses pouvoirs extrêmes, et ce livre “magique” des Seigneurs du Temps qui tombent entre de mauvaises mains et qui semble pouvoir influencer le temps lui-même, à en juger par l’horloge qui a bougé toute seule.
Bref, une introduction très réussie qui utilise un décor assez pittoresque d’un vieux schnoke à Cambridge et d’une balade sur un fleuve, pour nous bombarder de choses assez lourdes en mythologie et nous teaser un scénario clairement 100% centré sur les Time Lords, c’est plutôt original.